Run for a Fall

Shannie avait quitté son père plus tôt qu'elle ne l'avait d'abbord pensée. Mais l'intervention d'une de ses collègues de travail avait perturbé leur "retrouvaille". Elle ne devait avoir que quelques années de plus qu'elle même. Bien jeune pour tournée autour de son père, et alors qu'elle venait de conseiller a celui-ci de prendre du bon temps, elle en oubliait toutes ses suggestions, qu'une autre femme que sa mère puisse l'approcher la rendait folle de rage, d'autant plus vut son jeune age...

Et c'est comme une furie que la jeune femme déhenbulait dans les rues. Elle rentrait chez elle. Bien entendu, face a eux, ela politesse l'avait empecher d'exprimer ce qu'elle pensait, mais maintenant elle fulminait. Tout en elle l'enervait, alors qu'il était certain qu'en d'autre circonstance, les deux jeunes femmes auraient très bien put s'entendre.

Elle serrait son manteau contre elle, un petit vent frais la parcourait, mais elle serait bientot a l'abris, chez elle, ou plutôt chez son père. Il faudrait qu'elle songe a prendre un appartement, elle serait sur de ne pas croisé une de ces poulettes, et l'argent, ce n'était pas ce qui manquait...

Le soleil était assez bas et diffusait une lumière étrange qui provenait de son dos. Le ciel s'assombrie de manière rapide et surtout fugace. Elle se retourna, fixant le ciel, c'était étrange, il lui avait pourtant sembler voir quelque chose... probablement un oiseau....

C'est alors qu'un bruit sourd et proche se fit entendre, juste derière elle. Un cris d'exclamation, elle fit un bond digne d'un singe, saisissant son sac d'une main, le brandissant, prête a frapper son agresseur.

Ele ne cacha pas sa surprise, un homme se trouvais au sol, il était blond, assez mignon, mais surtout sortait de nul part. Elle surveilla les alentours, non elle n'avait pas put le louper, une tête comme ca, ca se repère.
Il se relevait doucement, semblait legerement blesser. Shannie leva le nez au ciel, était-ce possible que... NON, ca n'avait rien de logique.

Elle posa son sac et s'approcha du jeune homme, l'aidant a se relever.

"Depuis quand les hommes tombent-ils du ciel?"

Cette question semblait ironique, mais avais un fond de serieux, un fois le jeun homme remis sur pied, elle pencha la tête de côté l'inpectant.

"Ca va aller?"

Il n'aurait pas du, et pourtant Zach s'était laissé tenter. Ce convoi de la métropole semblait si vulnérable, si frêle qu'il semblait si facile de le détruire...
Le jeune homme marchait depuis quelques heures autour de la métropole, assez loin pour ne pas être repéré et assez proche pour repéré les éventuels convois qui sortiraient des murs d'enceinte à la recherche de ressources. Et oui, la métropole n'était pas totalement autonome et devait souvent envoyer des convois chercher de l'eau, des vivres divers etc.
Il n'y avait que trois voitures qui surveillaient le gros cylindre conteneur d'eau. Le jeune homme n'hésita pas longtemps et prit en filature l'engin qui s'enfonça rapidement dans le désert, vers les terres et les oasis à l'ouest. Attendant d'être assez loin, le jeune homme prit de l'altitude et força les champs magnétiques locaux à se densifier, accélérant la formation d'épais nuages et camouflant ainsi Zach. L'enfant monta à 5000 pieds avant de repiquer droit vers la terre. Ne prenant pas garde aux éventuelles armes auxquelles il allait avoir affaire il s'approcha du convoi à plus de 500km/h et fit s'envolés les quelques véhicules de garde en se servant du magnétisme. Elles atterrirent quelques mètres plus loin, complètement déformées...
Il n'y avait plus que le conteneur, sans défenses. Le conducteur ne représentait aucune menace pour le veilleur, ainsi s'approcha-t-il directement du cylindre et observa sa fiche d'immatriculation : De l'eau. Déçu il se retourna et s'apprêta à repartir vers Agram Fold quand deux drones apparurent dans le ciel et piquèrent vers le jeune homme. Sans rester plus longtemps au sol, Zachary s'envola, formant un cratère dans le sable tant la poussée fut puissante, atteignant rapidement la vitesse du son il ne prit pas soin de vérifier derrière lui si les avions l'avaient perdu ou pas et pût entendre une balle siffler juste à côté de son oreille. Surpris il se retourna et aperçut les deux avions derrière lui, ils n'atteignaient jamais la vitesse du son si rapidement ! Une nouvelle version de drones peut être, le fait était que si la balle n'avait fait que l'effleurer, son bras aurait été arraché. Les avions allaient vite et accéléraient très rapidement, bien plus que d'habitude. Si bien que zach du poussé jusqu'à mach5 pour commencer à les distancés. Le jeune homme tenait facilement la vitesse, un champ magnétique puissant le protégeait du vent et l'enveloppait d'une sorte de bouclier.
Il volait si rapidement que la ville d'Agram Fold passa comme un grain de sable sous ses yeux, sa priorité était maintenant de détruire les drones avant qu'ils ne reviennent à la métropole et ne communiquent la situation géographique de la ville. Avant qu'il n'ai pu faire demi tour, les avions volaient déjà en sens contraire, Zachary accéléra si rapidement que le sable à plusieurs centaines de mètres en dessous se creusa sous l'onde de choc. Il atteignit les drones et réussis à en détruire un premier par compression électromagnétique, le second était plus loin et allait bien plus vite.
Mach4, Mach5, Mach6, Mach7, à sa limite de vitesse, le drone allait toujours plus vite. Zach dût faire un effort immense pour atteindre Mach8, puis Mach9 et enfin Mach10, la vitesse était telle que son champ magnétique ne tenait plus vraiment et déstabilisait grandement le jeune homme qui avait en fin réussis à détruire le drone, juste avant de pénétrer la métropole.
Sa grande vitesse ne lui permit pas de faire demi tour, il allait si vite que le son de son passage ne venait que plusieurs secondes plus tard.
Sachant qu'il allait s'écraser s'il ne faisait rien, il s'approcha du second niveaux et livra un dernier effort pour créer une poussée en sens contraire et pouvoir atterrir sans trop de dégâts.
Enfin au sol, Zach ne prêtait pas attention aux gens autour, son champs magnétique était si puissant à ce moment là qu'aucune machine ne pouvait fonctionner à plus d'un kilomètre à la ronde. Le gens s'affolaient autour de lui, mais une seule voix parût à son oreille.


« Depuis qu'ils doivent s'empresser de détruire vos foutu drones avant qu'ils n'arrivent à destination. »

Son ton n'était pas méchant, simplement vrai, il savait pertinemment bien qu'il venait de dire en façon détournée qu'il était un dissident intermédiaire, mais qu'importe, rien ne fonctionnait plus autour de lui, pas même les caméras, il ne risquait rien.. ou presque...

« Ça va aller merci. Vous n'auriez pas un peu d'eau, Mach10 ça donne soif... »

Quelques secondes après ses mots, elle entendit un grand craque, comme si le ciel déchainait toute sa puissance, elle sursauta, comme beaucoup de gens, regardant le ciel d'un air inquiet. Ce n'était que le son qu'avait produit Zach sur son passage, mais elle ne pouvais le savoir. Des alarmes de voiture s'était déclancher, et elle avait l'impression d'assister a un de ces films aux scènes apocalyptiques.

Les premiers mots du garcon la firent revenir a elle même. Ils étaient d'autant plus étonnant qu'il semblait se reclamer des dissidents. Elle ne pouvais ignorer cette mise en garde. C'était ce genre de personne qui avait lancé l'attenta ce jour tragique. Celui-la même qui avait emporter sa mère.
L'idée de l'assommer alors qu'il semblait encore innoffenssif lui traversa un instant l'esprit, mais si jamais elle avait loupé son coup, c'était elle qui se retrouverait dans une position désagréable...

Elle prefera faire semblant de rien, esperant peut être que ce soit simplement de la vantardise. Quand bien même ce n'était pas le cas, elle avait enfin l'occasion de comprendre. Si elle parvenait a gagner la confiance de ce garçon, si elle parvenait a ce qu'il s'ouvre a elle, elle pourait peut être enfin comprendre les tenants et aboutissant de cette histoire. S'imposer un autre point de vue que celui de son père.

« Ça va aller merci. Vous n'auriez pas un peu d'eau, Mach10 ça donne soif... »

Elle pencha la tête de côté. MACH10? Elle savait que c'était une unité de vitesse, ou du moins il lui semblait, mais elle ne comprenait pas.

"Que voulez-vous dire? Et comment êtes vous atterit ici, vos petites cascades n'impressionnent personne, et vous auriez put gravement vous blessez. Vous pensez peut être que les hopitaux n'ont rien d'autre a faire que de venir vous ramasser."

Elle ne semblait pas comprendre que le jeune homme était bien descendu du ciel comme elle l'avait énoncé ironiquement. Elle avait un air un peu méfiant, mais a la fois intriguer.

Shannie le détailla un peu plus. Il semblait avoir son âge. Des vetements qu'elle n'avait jamais vut par ici. A se demander qui était son tailleur, c'était de fort mauvais gout.
Elle ouvrit son sac, et en sortie une petite bouteille qu'elle lui tendit, de l'eau du robinet, legerement sucrée pour faire passé son mauvais gout.

[Si j'avait justement préciser qu'elle se montrer peu avec son père, et encore moins dans les médias c'était justement pour garder son annonimat auprès des dissident comme toi x) ]

Les gens s'étaient éloignés, les arlames s'étaient tuent, et le vent calmé, laissant de nouveau place a un faible soleil. Mais alors qu'il levait le regard pour la première fois sur elle, son expression un peu désinvolte changeat immédiatement. Il avait pris un air, méfiant, toujours supperieur, agressif, mais méfiant.

Mlle Hewley? Ce coup ci ce fut elle qui vira de couleur. Elle recula d'un pas, jettant un coin d'oeil peu rassurer sur les environs, qui étaient malheureusement pour elle desert.
Les muslces tendus, elle l'écoutait pourtant sans bronché, inquiète.

« Je veux dire ce que je veux dire, je ne fais pas comme vous, les dirigeants de la métropole, je ne joue pas la langue de bois. J'ai attérit ici parce que j'allais trop vite pour prendre le risque d'aller ailleurs, c'était la seule piste potable pour moi.
Vos drones sont fourbement plus rapides que d'habitude, j'ai mis un temps fou pour les ratraper et les détruire. Faudrait pas que vous sachiez où est Agram, ça deviendrai trop facile. »

Il y avait un tel dégout dans sa voix. Elle savait que la dictature de son père n'était pas la plus exemplaire sur certain point, mais elle avait foi en elle. Il parlait de langue de bois? Elle sentait son sang bouillir, il se permettait de parler de ca, alors que ces êtres se prétendait défenseur de la liberté, en formantant des attentats qui tuaient la plupart du temps plus d'innoncent que de responsable. Elle lui répondit comme on crachait un venin.

"Sur ce point c'est sur, vos attentats sanglants ont l'avantage d'avoir une cible, bien que je doute que vous sachiez viser!"

Elle avait peur qu'il se fasse plus menancant, après tout, qu'aurait elle put faire contre lui? Elle hésitait a prendre les jambes a son cou, a aller chercher les forces de police. Elle pouvais aussi hurler, mais il l'aurait fait taire bien avant que quiquonque n'approche.

« Ca fait comment d'être un monstre ? »

Ces mots la mirent hors d'elle, une action non prémédité, comme un reflexe, son sang n'avait fait qu'un tour, si bien qu'il avait été impossible au jeune homme d'anticipé la violence du geste.

Son bras était partit de lui même, et avec une force qu'elle ne se connaissait pas, elle projetta son sac, soit dit en passant assez lourd, dans le visage du garcon qu'il n'avait pas put eviter. Elle le detestait, et la rage l'innondait.
Elle s'approcha du corps a moitier assomé, posant une main sur son coup, pour le maintenir a terre, elle sussura a son oreille.

"Ca fait un bien fou, tu ne peut pas savoir..."

Elle parlait de cette baffe, mais il l'interpreterait certainnement autrement. L'adrenaline redescendait, et elle se sentait mal. Que faire? Se relever et se tirer? Elle aurait certainement d'autre problème avec lui, c'est alors que lui vint une autre idée. Elle le releva, il tenait a peine sur ses pieds, et semblait trop mal en point pour se debattre, tant mieux, sinon elle n'aurait jamais put le trainer.

Elle le rammena chez elle. C'était une femme qui ouvrit, Rosalia, celle la même qui colportait les nouvelles a son père, elle sembla effarer a la vut de se jeune garcon au visage un peu ensanglanté.

"Il s'est fait renverser par une voiture, aidez moi s'il vous plait."

La femme de maison posa ses affaires et vint l'aider a le soulever, c'est qu'il n'était pas tout leger, elle était ravit qu'on l'aide a porter ce fardeau.

"Il ne faudrait pas plutôt appelé l'hopital? Je vait m'en charger."

"Non!"

Sa réponse avait fusé, trop rapide pour être reflechit, elle toussota un instant et reprit calmement, elle n'était pas habituer a ce genre de situation, ce genre de mensonge.

"Ca ira il est juste sonné, je le connait, je vais m'occuper de lui... Prennez votre après midi, vous le méritez bien."

La femme ne serait pas dupe, être congediez de la sorte cachait quelque chose, mais trop discrete pour désobeir, elle quitta les lieux, après avoir aider la jeune femme aporter Zach dans sa chambre.

Une fois qu'elle fut sure d'être seule, elle se lanca a la recherche de son dont elle avait besoin. Ce fut avec les moyens du bord qu'elle parvient a attacher les mains du garcon au pied de son lit, elle lui glissa le drap dans la bouche, s'assurant tout de même qu'il puisse respirer. Puis elle alla clore les vollets, elle était surexiter, la peur de se faire prendre certainnement...

Après quelques minutes, il revenait enfin a lui. Elle le sut car elle vit ses yeux qui brillait d'une haine sans pareil, et peut être d'un peu d'incompréhension.
Elle s'accroupit devant lui, a une distance qu'elle jugeait sur.

"Je t'enlève ce baillon si tu me promet de ne pas crier... Auquel cas je te couperait la langue..."

Elle n'était pas sur que ces menaces parviennent a lui faire peur, d'autant plus qu'elle serait incapable de les appliquer. Elle soupira, et s'approcha un peu plus, lui retirant les draps de la bouche.

Laisse moi partir? Elle l'aurait crut plus immaginatif... Il croyait peut être qu'elle l'avait rammener ici pour le laisser partir comme ca? Il la souestimait...
Il semblait faire un effort pour se montrer polit, cela l'amusait, maintenant qu'il était en position de faiblesse, il avait perdu de sa superbe...
Et pourtant, il se montrait encore insolant, elle aurait aimé pourtant qu'il la craingne, bien qu'elle n'optiendrait rien de lui de la sorte. Mais son animosité qu'elle trouvais injustifier commencait a lui taper sur les nerfs, elle resta cependant d'un calme presque inquietant.

Le manque d'humanité... elle aurait bien aimé qu'il lui dise ca le jour ou des petits morceaux de sa mère avait été projetter contre son visage... Elle lui aurait arracher les yeux...

Le jeune homme tenta de bouger, et tira sur ses liens, mais ils étaient solidement fixer, et par manque d'experience, et peur qu'il puisse s'échapper, elle les avait même serrer au dela du supportable.

« Je ne suis pas si sauvage que vous. Je ne te ferais pas de mal. Je suis humain moi. »

Elle pencha la tête de côté.

"Parce qu'a ton avis je suis quoi? Tu me prend pour une idiote, si jamais je fait mine de te détacher, tu t'échappera aussitôt, et dieu seul sais ce que tu pourrait faire, juste pour assouvir ton égaux."

Il semblait étonné de sa réparti, vexer presque, et avait reprit de suite avec un ton encore plus agressif.

« Tu me veux quoi ? Si c'est pour savoir où se trouve Agram Fold je préfère crever, je te le dirais jamais. C'est simple, vous pourrez faire ce que vous voulez, jamais vous ne nous trouverez. Nous resterons libres à jamais. »

Il la fixait droit dans les yeux et elle soutenait son regard. Elle était étonné de ses propos. Libre a jamais? Etait-ce libre de vivre pour défaire un idéal? Elle n'en était pas sur, s'il était réelement libre, il ne serait pas ici.

"Si j'avait voulut te soutirer ce genre d'informations, croit bien que je t'aurais laisser en de mains expertes, et tu ne demanderait qu'une chose, qu'on te laisse mourir... Moi, voit tu, je ne suis aps comme ca... Je suis humaine, comme tu le dit si justement."

Elle se releva et s'approcha de son bureau ou elle avait ramener la trousse de pharmacie. Elle avait attraper un coton, et un desinfectant, elle lui tournait encore le dos alors qu'elle parlait.

"Comment t'appel tu? Car il me semble que tu en sache plus sur moi que l'inverse..."

Elle revint vers lui et s'accroupit, elle saisit son menton pour le relever, il tenta de se dégager, mais elle ne le laissa pas faire, le saisissant plus fermement, elle applica le coton, nettoyant sans douceur le sang qui avait coagulé depuis l'arcade sourcillière.

"Je vais t'apprendre deux ou trois trucs sur moi... Je ne suis pas dirigeante, contrairement a ce que tu avait l'air de croire, et je n'ai aucun controle sur ce qui se passe ici, même si j'ai tendance a penser que ce ne peut pas être pire que la barbarie dont vous faite preuve."

Elle le voyait déja lancer une répartie violente, ils n'étaient pas d'accord sur ce point, c'était une chose certainne. Elle ne lui en laissa pas le temps.

"Tu sais ce que ca fait de recevoir contre soit, des morceaux humains? Des restes d'une personne chère?"

Elle avait cesser de le soigner, le regardait droit dans les yeux, une certainne tristesse sur le coeur.

"J'immagine que tu as dut en voir de belle également, sinon comment un jeune adulte de... aller quoi... 22 ans? Se retrouverait a combattre si ardement un système qui tente de sortir de la crise?"

Elle s'était relever, et le regardait , lui sur le sol.

"Moi je veux comprendre comment il est possible que deux positions soient si divergeante et s'opposent si violement, alors que leur but est le même.
Juste comprendre..."

Elle prit un verre d'eau et l'approcha de ses lèvres, il but, il semblait se calmer, l'écouter un peu plus.

"Ces liens sont trop serrer, j'en suis consciente; pardonne mon peu d'experience dans la matière..."

Elle avait eut un sourire ironique avant de se pencher pour les desserer.

[Pardonne le temps de réponse, mais tu me met des colles a m'insulter tout le temps alors que tu n'est pas sencer avoir le temps... elle peut pas le réassomer x) ]

Il était blessant dans ses propos, mais elle ne les relevait plus. Que pouvais t'elle faire? L'assomer a nouveau? Elle aurait du mal a en obtenir ce qu'elle voulait après ca.
Il continuait a la rabaisser, non humaine, mais comment pouvais t'il dire ca, lui simple machine au service d'un idéal dont il ne comprenait même pas l'enjeu.
Et lorsqu'il la traita une nouvelle fois de monstre, elle lui jetta un regard emplunt d'une noirceur qu'il cessa de parler pour un moment.

Malheureusement ca ne dura pas longtemps, il ne semblait pas comprendre qu'il n'était pas en position de force ici, et qu'il ne lui était pas permis de dire la totalité de ce qu'il pensait, ou plutot qu'il n'y en avait pas d'interet.

Il parlait de ses parents defunt, un orphelin? Elle n'avait absoluement pas remit en doute le fait qu'il puisse avoir vecu des choses difficiles, mais que lui remette en doute ce fait pour sa part, elle ne pouvais le supporter.

"Maintenant tu la ferme! Si ce regime est si horrible que tu ne le décrit, n'immagine tu pas un instant qu'il puisse être difficile d'y vivre? Alors ne te place pas comme étant le plus malheureux, tu l'as très bien dit, tu sera toujours libre, alors ne te plaint pas, dit toi qu'il y a des tas de gens, comme toi, comme moi, qui eux ne l'ont jamais été et ne le seront jamais."

Elle le foudroyait du regard.

"Le desert n'apprend t'il pas l'humilité a ses hotes?!"

Et alors qu'elle s'était radoucie, il ne parvenait toujours pas a controler ses ardeurs.

« Deux positions. Quel formule étrange pour décrire une guerre sanglante et injuste. Tu es bien naïve si tu croit que le but de la métropole est seulement de comprendre. Ils ne veulent pas comprendre, il veulent le pouvoir. Ils n'auraient pas quitter le système et rejoint le règne de l'Ombre. Évidement ça tu ne peux pas connaître. Je présume même que tu n'as jamais entendu parler du système, des archives, de la base de données centrale. Rien.
Ne croit pas qu'il s'agisse simplement d'un conflit classique non. C'est quelque chose de bien plus monstrueux que tu ne croit. Bien plus.. »

Elle le regardait avec un air affliger, il la traitait de naive, mais c'était lui qui l'était.

"Tu parle de chose que tu ne connait pas, était tu la quand la planete a été exclut du système? Tu n'était pas né. Car oui, elle en as bien été exclut, et ceux de part ses déboires multiples, tu peut accuser le régime en place, je te l'accorde, il n'est pas tout blanc, mais ne l'accuse pas de crime qu'il n'as pas commis, c'est justement le régime qui a été mis en place pour nous sortir de cette merde, et s'il n'y avait pas a tout coin de rue des gens dans ton genre ce serait peut être déja plus avancer.
Oui c'est monstrueux tout ce que tu veux, mais croit bien que ce n'est pas la première guerre que ce monde a porter, ni la dernière qu'il portera, les hommes sont très fort pour cela, c'est d'ailleur même pour ca que nous en sommes arriver la. Reflechit un peu! La paix est un concept inventer par les hommes pour pouvoir justifier la guerre, que ce soit celui la ou un autre, il y aura toujours une guerre a mener, et je ne croit aps qu'on puisse dire que l'un ou l'autre camp soit inhumain, car c'est justement être humain que de se taper sur la gueule. Alors maintenant que moi je te propose de discuter, et non de combattre, ferme la un peu et montre toi un peu plus intelligent qu'un simple humain qui refuserait toute cooperation."

Sa remarque semblait avoir porter ses fruits, il s'était calmer, elle avait craint qu'il ne profite du fait qu'elle dessere ses liens pour se faire la male, ou retourner la situation, mais il n'en fit rien. Il finit même par lui donner son nom, et a ce moment, un jolie sourire apparut sur son visage. Il cooperait enfin, c'était minime, mais cela changeait des insultes incessantes.

Elle s'était redresser, les liens desserer, en faite, il aurait facilement put s'échaper maintenant, même si elle ne s'en apercevait pas. Elle ne pouvais encore le detacher, elle n'avait pas confiance en lui, mais esperait bien parvenir a quelque chose de sencé.

"Zachary... Ca me permet de mettre un nom sur ton visage... Moi c'est Shannie, mais je suppose que tu le sais déja."

Elle s'était assise, sur le sol, contre la chaise en face de Zach, de cette manière elle était a son niveau, c'était probablement plus confortable, elle n'avait pas les bras tendu en arrière, position assez fatiguante pour les muscles.
Elle ne pourrait pas le garder ici indéfiniment, il faudrait qu'elle le relache, mais elle apréhendait ce qui pourrait ce passé a ce moment la.

"Tu n'est pas la pour contester ce que moi je pense... Mais immaginons que je ne soit personne, juste une femme, exterieur a ce conflit, qui ne sais rien, qu'est-ce que tu voudrait me dire... Qu'est-ce que tu voit que je ne voit pas."

Sa voix c'était faite douce, et enfin elle pouvais voir en lui autre chose que ce garcon agressif et argneux. C'était un joli discours. Elle s'était attendu aux pires horreurs qui soient, probablement agrémenter ce cette haine qu'il semblait vouer aux métropolitains. Mais il n'en était rien.
Un faible sourire planait sur les lèvres de Shannie alors qu'elle l'écoutait.
Elle était consciente que la propagande était la pour etouffer les esprits, d'un autre côté, si les esprits n'étaient pas diriger contre un ennemi, le système exploserait.
Contrairement a ce qu'il semblait vouloir croire, elle comprenait très bien. La seule chose qui aurait put l'empecher de comprendre, c'était d' être cloitrer dans une vision qu'elle ne voudrait pas changer, et de par son comportement, elle voulait justement s'ouvrir a une vision nouvelle. Elle pouvais le croire, elle pouvais comprendre. Pas obligatoirement être d'accord, mais comprendre.

Il avait changer du tout au tout. Quelques minutes a peine auparavant, il lui aurait crever les yeux, il la detestait. Elle était un monstre. Et maintenant, cette vision semblait avoir changer. C'était trop rapide, presque illogique.

« Tu es déjà sortie de la métropole ? As tu déjà sentit le sable glisser sous tes pas, le vent frais caresser ta peau. J'imagine que tu n'as jamais vu de ciel pur, non trafiqué par tous les épandages aériens dont la métropole fait la cible. Tu n'as jamais vu le soleil se couché sur l'horizon blanc, traçant d'un fin liseret ocre, la frontière entre le monde et les cieux."

Elle acquièca d'un mouvement de tête. Elle ne savait pas ce que c'était. Les seuls cieux qu'elle avait put apercevoir, nu de toute présence militaire résidait dans des films, datant souvent d'avant l'exclusion du système.

"Je sais... Mais croit bien qu'un jour je le verrait."

Ce n'était pas une supposition, une affirmation. Un jour elle verrait cela, que ce soit avec ou sans la benediction de son père. Rien n'aurait sut l'en empecher, appart peut être des chaines, mais ils n'en étaient pas encore la.

Tu ne peux pas comprendre ma colère, et je ne peux t'en tenir rigueur. Shannie, tu n'as jamais été libre, tu n'as jamais vu toutes ces choses qui paraissent anodines, mais qui sont tout sauf anodines. J'aurais aimer t'emmener à Agram Fold, ou simplement dans le désert, te montrer la beauté à l'état pur, sans aucun artefact. Mais même si toi tu le voulais, nous ne pourrions pas. Cette puce que tu as dans le cou t'empêche de sortir de la métropole n'est ce pas ? Par mesure de sécurité j'imagine... »

Elle eut un sourire étrange. Alors il ne savait pas tout d'elle. Sa réaction était étrange. Il souhaitait l'emmener? Elle ne parvenait pas a comprendre comment la rage avait put s'estomper si vite.

"Il y a un instant, tu me traitait de monstre, et maintenant tu voudrait me faire voir le monde?"

Elle semblait legerement amusé.

"Je doit avouer que ca me dépasse."

Elle jetta un regard vers l'exterieur, il y avait peu de gens près de la maison, c'était bien surveiller. Elle retourna son visage vers lui.

"Je ne suis pas pucée. Si quelqu'un était tombé sur les coordonnés gps, cela aurait put compromettre ma sécurité ou celle de mon père."

Rien ne la retennait, elle avait un faible sentiment jubillatoire en elle. Celui d'échapper a tout controle. Ce n'était qu'illusoire, mais elle avait l'impression de pouvoir conduire sa vie, de posseder par la une chance que d'autre n'avait peut être pas.

"Une puce n'empeche pas de sortir de la métropole a proprement parler, mais si une personne pucé venait a rejoindre un camp dans le desert, celui ci serait rapidement retrouver. Je crois que c'est ca le but premier."

Elle s'était détendu, n'avait plus l'impression de parler a un ennemi.
Soudain, elle se redressa violement. Du bruit. Un bruit de clef. Qui pouvais bien rentrer a cette heure? Elle était habituellement seule. Elle se mit debout rapidement, un instant de panique l'envahit. La porte s'était ouverte, et les pas dans le long couloir résonnait.
Elle se saisit rapidement d'une paire de ciseau sur le bureau, et entreprit de couper les liens qui entravait Zachary. Si quelqu'un entrait alors qu'il était attacher, trop de question se poserait.
Elle était a genou devant lui, mais dans la précipitation, penait a le detacher. Elle avait a peine finit quand la porte s'entrouvrit.

[J'ai laisser une entrée pour Aaron :p soit tu repond avant, soit tu attend ; ca va faire un peu d'action x) ]

** Tu n'en reste pas moins un monstre. **

Zachary garda ses pensées pour lui, il s'était certes calmé, mais son dégoût pour les métropolitains n'en restait pas moins présent. Le jeune homme tentait simplement de rester calme.





[ petit post désolé U_u ]

Il avait semblé legerrement étonné a sa déclaration. Il y avait de quoi, cette improvisation était des plus hasardeuse. Alors que le soldat semblait reflechir, entre ses ordres et les menaces de la fille de son chef, Zachary avait pris une attitude des plus désobligeante, et avait de par la même, ruiné tout ses efforts. Elle lui lanca un regard a la fois enerver mais surtout exasperer. A quoi jouait-il? Il semblait n'avoir peur de rien, qui esperait il impressioner? Cette insolance était des plus inaprioprié, et avec sa petite phrase insolante, il ressemblait plus a un adolescent en mal de punition qu'a un adulte, dissident de plus. Elle l'aurait immaginé plus mûr.

Quoiqu'il en soit, la réaction du soldat ne se fit pas attendre, et d'un sens elle comprenait, si c'eut été elle, elle lui aurait probablement coller une belle baffe, mais la violence du coup n'était pas pardonnable.
Son nez coulait a flot, cela n'était probablement rien, mais était toujours impréssionant a voir.

"Mais ca ne va pas?!"

Sa voix s'élevait, tonante, totalement dépasser par la situation. Elle ne relfechissait même plus, que ce soit un dissident ou non, elle trouvais cela intolerable, et voulait le proteger, que ce soit par pur contradiction aux ordres de son père, ou bien par simple compassion.

L'homme avait sorti ce qui rensemblait a une arme, la pointant sur le coup de Zachary, elle les avait déja vut faire, et si ce que Zach lui avait raconter était vrai il était déja passer par la, et elle ne lui souhaitait aucun retour par cette case. Elle tenta vainement d'aggriper le bras du soldat qui la repoussa du revers. Elle tomba en arrière, la douleur avait été vive, sur le derière, elle porta sa main a ses lèvres, elle saignait. Elle semblait choquer, non pas par la scène, mais qu'ils osent un tel comportement.

" A présent, vous serez bien obligé de rester dans le périmètre de la métropole. Le président décidera de votre sort. "

Elle le foudroyait du regard, elle eut même l'impression de voir un sourire sur son visage alors qu'il quittait la chambre.

" Il ne tardera pas. "

Shannie bouillonnait, depuis quand son père se permettait ce genre d'intrusion. Elle apprenait aujourd'hui ce qui était parfois le quotidien d'autre; mais elle était choquer, outrer qu'il ai put ordonner cela a son encontre, alors que quelques heures plus tôt il la poussait vers les autres.

Elle se releva, sans rapidité, plus rien ne pressait maintenant. Elle s'approcha doucement de Zachary.

"Je suis désolé, c'est de ma faute, si je ne t'avait pas fait venir ici rien ne serait arrivé. J'espère que je pourrais arranger les choses, que tu pourra me pardonner."

Le sang qui coulait avait tacher ses draps, témoins de la violence de l'intervention. Shannie remonta sur son lit, et s'assit, le dos contre le mur, entourant ses jambes de ses bras. Il n'y avait plus qu'a attendre. De toute facon, on ne les laisseraient pas quitter le lieu.

Elle regardait Zachary de manière détourné, triste de ce qu'elle lui avait involontairement fait subir. Elle le voyait bien nonchalement se relever, avec cette insolance qui finalement, ne lui allait pas si mal, comme si cela ne l'atteignait pas. Mais que cela l'atteigne ou non, ce quel avait tenter c'était solder en désastre; et elle s'en voulait. Non elle en voulait a son père...

Et quand la porte se rouvrit, elle releva a peine les yeux, la colère sur son visage tacher de sang.

Elle était malade de colère. Ses muscles se contractaient, se tendaient tours a tours, et l'expression de ses mains, ainsi que de son visage montrait facilement qu'elle aurait bien cogner sur quelqu'un.

Elle observa un instant Zachary, qui profitait du gant humide, et reparti en direction de la salle de bain. La porte claqua. On pouvais entendre de l'exterieur un faible cris éttouffé, suivit d'un claquement. Elle laissait sortir sa colère, il vallait mieu que ce soit seule, c'était la première fois qu'elle sortait d'elle a se point. Plus rien... Puis le bruit de l'eau, le bruit de la douche. Quand Shannie ressortie, elle avait la tête trempé. Son maquillage avait couler. Rien de tel qu'une douche froide pour se calmer.

Elle lanca a Zachary un regard et il comprit immédiatement qu'elle ne permettrait aucun commentaire. Elle s'épongeait doucement le visage, alors qu'il parla simplement.

« Je sais. Ils tenteront simplement de me suivre, mais ils n'auraient pas le temps de lancer un drone que je serait déjà hors de portée. D'où l'avantage d'être un veilleur. Le problème est que je ne peux partir maintenant, je n'ai pas assez de forces pour atteindre ma vitesse maximale. Tu connaitrais pas un endroit sur où passé la nuit par hasard ? »

Elle releva la tête vers lui. Et reflechit un instant. Elle ne voyait pas vraiment ou il aurait put dormir. Mais autre chose la chiffonait.

"Pardonne ma franchise, mais... tu te prend pour Superman? Ou le soldat a frapper trop fort et tu n'as plus tout tes esprits..."

Sa vitesse maximale... en faite, il ne parlait que de cela depuis qu'il était arrivé. "Mach 10 ca donne soif" elle se souvenait encore de son essouflement. Elle le regardait immobile, et sans détourner les yeux, elle saisit un elastique sur le bureau et s'attacha rapidement les cheveux pour qu'ils ne gouttent pas dans son cou.
Elle voulait l'entendre de sa bouche, elle se doutait vainement de quelque chose, mais c'était trop incroyable pour qu'elle parvienne a y croire.

Encore choquer par ce qu'il venait de lui apprendre, son autre question lui revenait en tête. Elle inspira profondement, que lui conseiller?

"Je ne connait pas de personne qui serait succeptible de t'heberger... mais le mieu est peut être que tu reste ici. Ils ne reviendrons plus ici, enfin je ne croit pas..."

La porte grinca, elle y tourna un regard intriguer, un chat passa la tête par la, avec un bbbrouu famillier. Shannie était appuyer a son bureau, et d'un bond le chat l'avait rejoint, et frottant a elle. Elle le carressa simplement, il se retournait pour jouer avec sa main. Et a ce moment, un idée simple lui vint. Elle attrapa son chat, l'embrassa sur la tête avant de le liberer.

"Si la puce dans ton cou n'a rien de dangereux, tu peux être sur, qu'elle leur indiquera ta position. Seulement si tu l'hote, ils ne te laisserons pas le temps de t'éloigner. Mais si, tu l'hotait, en la gardant pres de toi, sur un chat par exemple, et qu'une fois assez loin, tu le libere, tu pourra partir en toute discretion. Le chat aura l'avantage de continuer a se mouvoir, differement que si tu la supprimait simplement..."

L'idée n'était pas idiote, mais la simple pensée de le voir s'ouvrir le cou l'écoeurait a raison. Le ciel se couchait derière les volets toujours clots.

Il avait rit, c'était la première fois qu'elle l'entendait rire. Il avait pouffé une fois, mais de manière très ironique a la déclaration de son père. Mais la il riait. Cela la fit sourire, elle se sentait en confiance, bien qu'elle n'était pas trop sur de comment elle devait le prendre, est-ce qu'il se moquait d'elle? ca n'avait pas l'air d'être son genre...

« Superman volait moins vite je pense. Je suis un veilleur, tu as déjà du entendre parler de ça non ? A moins que tu n'y croie pas. Ce qui serait étrange de la part d'une...veilleuse. »

Il avait l'air des plus serieux, s'en était presque inquietant. Elle fronca les sourcils, biensur elle avait déja entendu parler des veilleurs, mais ce n'était pour elle qu'une simple légende, puisqu'elle n'en avait jamais vut.
Mais l'interrogation fut a son comble quand il la soupsonna d'en être une également. Elle avait du mal a y croire, elle s'en serait appercut tout de même.

"Personne n'a jamais put le prouver; je n'en ai jamais vut..."

Il s'était relever, et avait lancer negligement une remarque concernant le lit. Elle acquieca d'un simple oui, se leva pour ouvrir l'armoire, elle dut se mettre sur la pointe des pieds pour attraper le linge. Elle jetta des draps propres sur le lit.

Il acceptait de dormir ici, elle eut même l'impression a sa réponse que c'était ce qu'il avait envisager depuis le début.

"Je dormirait dans le fauteuil, ce ne sera pas la première fois."

Il observait l'exterieur, aux travers des fentes des volets, la lumière artificiel des lampadaires y filtrait.

« Tout est plus calme dans le désert, rien ne vient gêner l'esprit. Rien, le vide qui empli l'âme de bonheur. Je me demande comment tu fais pour vivre dans la métropole. Tu y es née ? »

Elle ne répondit pas, il devait bine s'en douté. Né de père pro-gouvernementaliste, il aurait été inscencé qu'elle soit né en campagne.
Elle lui suggera son idée, il la refusa, il ne semblait pas comprendre. Une poite d'humour dans la voix, il evoquait un "pouvoir" qu'elle ne connaissait pas. Elle secoua la tête.

"Si tu la détruit, c'est la qu'ils te tomberont dessus. Ce chat est déja pucé, pour retrouver son proprietaire, il n'en souffre pas, cela ne réduit pas sa liberté, et je ne croit pas qu'il rechognera a ce qu'on la lui glisse dans le collier. Le but c'est justement de leur faire croire que tu es toujours ici, qu'ils n'ont pas besoin de te chercher, et c'est a ce moment que tu pourra disparaitre sans laisser de trace aucune."

Elle le regardait serieuse. Elle voulait l'aider a s'échapper, la situation était ironique, elle l'avait sequestrer et maintenant était la première a vouloir le faire partir. Elle se mit a rire, puis a sangloter, un rire meler de larme, nerveux, probablement dut a la baisse de l'adrenaline.
Elle posa ses mains sur son visage, pour retenir ce sanglot.

"Je suis désolé."

Désolé de ce qu'il se passait, aussi bien que de la situation présente, ce n'était pas du tout agréable pour elle qu'il la voit ainsi. D'autant plus qu'ils n'avaient pas de liens particuliers.