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Les dissidents sont des humains extérieurs à la métropoles qui refusent le régime totalitaire imposé par le gouvernement. Ils connaissent pour la plupart l'existence du système et du Saint Manuscrit, certains ont même accès aux archives. Ils vivent pour la grande majorité à Agram Fold, une immense ville/bazar au milieu du désert, vivant tant bien que mal et repoussant toutes les tentatives d'infiltration du gouvernement qui veut les voir....morts.
Certains humains, ils sont extrêmement rares et recherchés tant par les dissidents que par le gouvernement, ont développer d'étranges capacités à la suite de la tempête solaire de 2011. Possédant plus de 80% de leur cerveau, ils sont capables de prouesses impressionnantes qui font l'objet de nombreuses légendes urbaines à Agram Fold : Télékinésie, maîtrise des éléments primordiaux, de l'énergie, contrôle mental et bien d'autres phénomènes inconnus. Ce sont eux qui feront pencher la balance d'un côté où d'un autre...

Les dissidents intermédiaires sont des Veilleurs qui pénètrent clandestinement la métropole et servent ainsi d'intermédiaires entre les dissidents interieurs à la métropole et ceux qui lui sont extérieurs.
Ce type de dissident est rare mais éxiste. Pour cela il faut être un veilleur et posseder une capacité perméttant d'infiltrer la métropole sans être prit ( pour moi ce sera le vol à haute altitude, pour d'autre la célérité... ).

La ville des Bannis - Agni

Le désert est une comme une mer, il est calme et on y vogue volontiers. Seulement, lorsque cette mer se déchaîne, elle ne laisse que mort et silence derrière elle. La mer de sable est encore plus fourbe que celle faîte d’eau. Elle s’agite et se répand sans crier gare. Elle s’incruste partout, dans les moindres recoins et il est dur de la délogée. Bien que le sable ne soit transporté qu’au gré du vent, celui-ci est traître et aussi meurtrier que tous les soldats de la Métropole réunis.

Le sable s’incruste dans tous les orifices, se faufile dans les yeux, les oreilles, le nez et la bouche. Il descend tout droit dans les poumons, dans le ventre, circule dans le sang et crée des caillots et autres problèmes physiques. Il est donc fou et irresponsable de s’aventurer seul face à ce monstre qu’est le désert. Seul le désespéré ou le suicidaire oserait pénétré dans cette endroit maudit par le corps humain tout entier.

En plus du sable, il y a la chaleur et surtout les mirages. Images que l’esprit s’invente pour essayer de contenter un manque du corps. Les mirages sont une sorte de cris d’alerte du corps, comme s’il voulait une dernière fois goûter à un plaisir avant de s’adonner au sable. L’humain non prévoyant finira toujours par tomber face à ce genre de phénomène et pire encore ; croire à ce qu’il voit et ainsi se détourner de sa route initiale pour se jeter dans un rêve éveillé.

Perdu dans le désert, enfoui et caché là où personne n’aurait idée de s’aventurer, il y a une sorte de petite ville. Un immense édifice caché dans une des rares falaises de pierre ferme qui casse le schéma très répétitif du désert. Cet édifice est une ville dans la pierre. Une ville remplis d’être bannis, des gens dont personne ne veut, des gens au passé lourd qui recherchent un lieu où tout recommencer ou un lieu où ils pourront cesser de vivre aux yeux des autres.

Les bannis, c’est ainsi que les autres peuplades les nommes, un surnom bien triste et sombre pour des êtres humains bien plus vivants et sensé que ceux que l’on peut trouver dans les villes. Entre eux, ils ne se nomment pas comme tel, pour eux, il ne forme pas réellement un tout uniforme ; chacun est libre de faire ce qu’il veut, il peut quitter cet endroit à tout moment et ne pas prendre part aux activités des autres. Mais ce genre de comportement n’existe que peux car ils vivent dans un lieu où chaque jour est un combat et surtout où chaque jour ils ont quelque chose à faire. Il n’y a pas de réel règle, seule celle de ne jamais parler de cet endroit est obligée et connue de toute. Sinon les diverses personnes s’en remettent aux compétences des autres.

Cette ville incrustée souterraine, incrustée et creusée dans la roche porte le nom d’Agni qui signifie maison dans le langage propre à cette ville. Bien que les gens de la métropole et les "insoumis d’à coter" (dixit les dissidents) ne croit pas tous que cette ville existe. Certains y croit mais n’imagine pas le tiers des richesses qui s’y trouve ; des richesses non pas faite d’or, d’argent et d’objet usuel et sans réel utilité, mais le trésor enfouis au plus profond de chacun des hommes. Un trésor qui fait que chacun s’entraide dans les moments durs, que la violence n’a presque plus cours… Une sorte de jardin d’Eden pour celui qui arrivera ouvrir ses yeux.

Peu de gens sont arrivés à trouver cet endroit d’eux-mêmes. Seul ceux qui la cherchait de tout leur cœur ont vus ces portes alors qu’ils étaient à deux doigts de passer l’arme à gauche. En effet, il semblerait que cet endroit ne soit trouvable que lorsqu’on se trouve aux bords de la mort, lorsque celle-ci, debout à nos cotés, nous regarde ramper dans le sable, sans plus aucun espoir.

La ville est faire de nombreux tunnels et galeries. Les endroits habités son très "aérés" seul la lumière semi synthétique crée par des appareils technologiques rappel que l’on se trouve loin des rayons de l’astre solaire. L’endroit le plus sombre est la maison à Sariah, sorte de "leader" non-officiel.

Les zones sont bien délimitées et l’endroit où elles se trouvent n’a pas été définies au hasard. Il existe un moyen simple de savoir où ce trouve l’endroit que l’on cherche : les étages sont définis d’après le niveau de plaisir qui est prit dans ces endroits. Les étages des salles de combats, de la guerre et de l’unique banque ce trouvent dans les étages les plus bas, ceux-ci définisse les endroits où le plaisir est mitigé. Les jardins luxuriants, les échoppes, le marché et les habitations se trouvent dans les étages supérieur qui représente les étage où il est bon de séjourné à souhait.

Agni doit son style et sa construction aux longues années d’entraînement à la maîtrise de la terre de la part de Sariah.

Tout commença le 28 février 2018, l'armée n'était plus assez performante pour les dirigeants qui cherchaient à détruire le plus rapidement la menace des Dissidents.
Les laboratoires travaillaient à ce moment là sur un projet, le projet Black Sunshine, il visait à créer les premiers soldats hybrides, mi hommes mi machines, ils incarneraient ainsi la toute puissance de la métropole et sauraient sans difficulté trouver et détruire tous les Dissidents et Veilleurs de Fèhj. Réduisant ainsi à néant les espoirs d'une libération.
Pendant un temps, tout alla bien. Les premiers spécimènes furent créés, ils étaient cinq, deux femmes et trois hommes. Les premiers tests furent fantastiques, ces soldats développaient une telle habileté, une telle force que rien ne leur résistait. Ils passèrent des semaines dans le désert sans rien, et survécurent sans difficulté.
Mais bientôt les premières trace du vice apparurent, le premier modèle, BS1, montra des traces de sentiments, il se donna même un nom : Loyd. Petit à petit, il commençait à poser des questions, tout d'abord insignifiantes, puis plus pointues, plus gênantes. Il remettait même en question la légitimité de la guerre, il se prit d'affection pour un humain et leur ressembla bientôt en tout points, oubliant même sa véritable identité, un hybride.
BS1 commençant à influencer les quatre autres hybrides, il fut décidé de sa mort.

 - Nous ne pouvons continuer ainsi ! BS1 devient trop humain, ses sentiments prènnent le dessus et il devient un danger pour les autres hybrides.
 - Ne deviez vous pas leur enlever toute trace d'émotions, de sentiment ? Docteur.
 - Je sais monsieur, mais il ne s'agit là que des tests, simplement pour tester leur performances, nous ne pensions pas nécessaire de les désensibilisés.
 - Eh bien vous vous êtes trompé. Qu'allez vous faire à présent ?
 - BS1 est dans la salle à côté, encerclé de huit soldats lourdement armés, il suffit d'un signe pour qu'ils l'abattent.
 - Très bien.

Le docteur s'approcha de la vitre de sécurité, le regard morne, mort. Le jeune homme était assis à la table, on pouvait croire à un enfant, son visage rayonnait, son regard était doux, bienveillant. Le vieil homme fit signe aux soldats.
Les bruits de tirs résonnèrent dans le couloir, BS1 fut abattu.

Le problème ne fut pas réglé pour autant, les quatre autres Hybrides eurent vent de ce qui s'était passé, très liés avec BS1 qui était leur aîné, les quatre tests devinrent hors de contrôle, ils détruisirent tous les labos et quittèrent la métropole sans attendre.
Les labos furent reconstruits, mais les quatre hybrides ne furent jamais retrouvés.
A présent ce sont de nouveaux hybrides qui sont produits en masse, dénués de tous sentiments, de toutes émotions, ils ne peuvent qu'obéir aux ordres : tuer.